samedi 29 octobre 2016

Cracovie - L'Enrichissante

Ok, je sais, je vous parle de mes voyages de façon un peu erratique. Je mixe les villes visitées en avril-mai 2015 (avant mon retour au Québec pour l'été) et celles visitées lors de mon deuxième séjour à Londres (jusqu'en mai 2016). Alors, Cracovie (Krakow) vient après Budapest. Rappelez-vous, j'avais fait une publication sur la fois où j'avais passé la nuit dans le train. Bin, c'était pour me rendre à Cracovie.

Je tenais vraiment à aller en Pologne pour pouvoir aller visiter le camp d'extermination Auschwitz. Comme vous savez, mon tour d'Europe m'a fait passer par plusieurs villes touchées par la Deuxième guerre mondiale ou par le communisme. Je voulais donc passer par la Pologne, le pays le plus "ravagé" par la vague nazi.

Après ma nuit passée dans le train (où j'ai dû dormir un gros total de 2 ou 3 heures), je suis arrivée à destination vers 7 h du matin. Pas mal tôt pour pouvoir prendre possession de mon lit à l'auberge de jeunesse hen! Alors, avec mes nouveaux amis rencontrés dans la cabine du train, nous sommes allés prendre un petit déjeuner dans un café près de la gare. Eux, ils n'avaient pas réservé rien pour dormir le soir, moi, j'avais déjà ma réservation de faite. J'aime l'inconnu, mais j'aime beaucoup mieux savoir où je dormirai le soir. Chacun ses trips! Bref, on est resté là un bon 3-4 heures à jaser et à manger.

La ville sous la pluie

Je suis arrivée à mon auberge, One World Hostel, vers midi. J'ai déjà pu checker in et m'installer dans mon dortoir. L'auberge était bien, j'étais dans un dortoir à 8 personnes. C'était bien confortable, avec un gros oreiller. Le déjeuner (de base) était compris dans le prix (ce qui est rare en auberge de jeunesse) et c'était super bien situé, à 5-6 minutes de marche de la place centrale.

J'adore les lits du bas!
J'ai fait une mini sieste et suis allée faire un walking tour à 15 h 30. Il pleuvait à boire debout, mais bon, étant à Cracovie pour seulement 48 heures, je me suis bottée les fesses et y suis allée. Étonnamment, malgré la forte pluie, nous étions une dizaine à suivre le tour. Le guide, Tomasck, fût bien sympathique et dynamique malgré la pluie torrentielle qui sévissait. Petit fait intéressant : mettez vous en contexte que ça fait plus de 4 semaines que je voyage dans différents pays, avec des devises différentes. Là, on est en Pologne, avec des Zloty comme monnaie pis ma capacité de convertir grossièrement la devise est à son plus faible... Alors, je n'avais aucune idée combien lui donner comme pourboire à la fin du tour. Soit, je lui ai donné beaucoup trop, soit je ne lui ai vraiment pas donné assez... On ne saura jamais!

La place centrale

La tête est vide




J'ai continué à marcher un petit peu après le tour, vu qu'il avait arrêté de pleuvoir. Je ne suis pas rentrée tard, parce que le lendemain, j'avais un double programme très chargé.


Yé un pont!

Un aperçu d'Auschwitz

Levé tôt le lendemain, pour être au lieu de rendez-vous à 7 h. Première étape, une visite du camp de concentration Auschwitz-Birkenau. J'ai détaillé mon expérience dans l'article de blog dédié aux camps de concentration (en lien dans la phrase précédente). Je vais quand même vous écrire ici ce que j'avais noté dans mon carnet de voyage.

On avait un guide, une femme, elle n'était pas vraiment intéressante. En fait, ce qu'elle disait était intéressant, mais elle avait le même ton monotone... Je comprends que tu ne peux pas faire des blagues et être hyper dynamique pour ce genre de tour, mais elle avait l'air sur le bord du suicide! Finalement, ce n'était pas beaucoup plus différent de Sachsenhausen, les conditions de vie étaient similaires.

La grosse différence, c'est qu'à Auschwitz, c'était un camp d'extermination, il y avait quatre bâtiments d'exécution (crématorium) et c'était beaucoup plus gros, avec plus de 300 baraques sur Birkenau (Auschwitz II). Le tour des deux camps a pris un bon 3 heures. Je suis revenue à Cracovie autour de 14 h 30 et à 15 h 15, je prenais un autre tour pour visiter la mine de sel Wieliczka.

La mine de sel

La mine de sel Wieliczka est la plus vieille mine de sel de Pologne. Il y a 9 niveaux sous le sol. Pour la visite, nous sommes descendus à 130 m sous le sol, au 3e niveau. Pour descendre, nous n'avons pas utilisé un ascenseur, oooohh non! Nous avons descendu beaucoup, beaucoup de marches. Et quand on regardait dans le trou au milieu des paliers, ça donnait mal au coeur! Tellement de marches que le lendemain, j'avais vraiment mal aux cuisses.

Je vous disais que c'était creu

Salle 

Le pape Jean-Paul II est polonais, donc on est fier!

Un lac dans une des salles

Vous pouvez organiser votre événement dans une mine de sel!

Le tour était fait par une guide très gentille et bien intéressante. Elle répondait même à toutes mes questions lorsqu'on se déplaçait d'un endroit à un autre, c'est tout dire de sa gentillesse! Nous avons visité plus de 20 chambres différentes, certaines avec des sculptures de sel, d'autres avec des lacs. J'ai aussi vu une sculpture du pape Jean-Paul II en sel, hihi! Il y a une giga chapelle : St-Kinga's Chapel. Tout est fait en sel! C'était vraiment impressionnant et beaucoup plus léger comme tour, après avoir passé l'avant-midi à Auschwitz. Un beau programme double qui en valait le réveil aux petites heures!

Jour du départ de Cracovie

Petit arrêt à Varsovie

Pour rentrer à Londres, je devais partir de Varsovie (Warsaw), sinon, de Cracovie, c'était vraiment beaucoup plus cher. J'ai donc pris le train de Cracovie à Varsovie. C'était un cabine de huit personnes assises, un voyage de jour. J'ai fait ma sauvage et n'ai parlé à personne! J'arrivais à Varsovie dans l'après-midi le vendredi et je partais en avion le samedi matin. J'avais donc décidé de me payer la traite et j'ai booké un hôtel près de l'aéroport. Je voulais me gâter, donc j'ai pris un hôtel 4 étoiles près de l'aéroport. Je dis "me payer du luxe", well, ça m'a coûté environ 65$. La Pologne, c'est le meilleur pays pour se payer du luxe, c'est pas cher! :-)

Alors, j'arrive à mon hôtel en milieu d'après-midi. Ça m'a tout pris pour repartir de là... Super grand lit double, super salle de bain avec douche en céramique.

DU LUXE!!!
Pour aller dans le centre, c'était un gros 30 minutes d'autobus (vu que j'étais près de l'aéroport) de l'hôtel. Rendue dans le centre, je ne savais pas vraiment ce qu'il y avait à faire ou à voir. Je suis allée au bureau d'information touristique, j'ai pris une carte (question de pouvoir revenir à mon super hôtel) et je suis partie à la découverte.

Je me suis promenée dans un grand parc où il y avait un genre de palais royal.


Le genre de palais royal de Varsovie
Après, j'ai marché tout le long de la rue principale. Je ne sais pas trop le nom des choses que j'ai vues, mais c'était beau et la température était excellente, beau gros soleil! J'ai même entendu des québécois se parler pendant ma marche et je leur ai parlé. Ils habitent à Varsovie, le monsieur travaille au consulat (ou l'ambassade) du Canada en Pologne. C'est hot! Je veux ce genre de job!




Petit fait cocasse lorsque je suis dans le bus pour rentrer à l'hôtel, Je demande au chauffeur si ce bus se rend bel et bien à mon hôtel, imaginez-vous donc qu'il ne parle pas anglais. Alors, je vais demander à une fille toute seule dans le bus et elle me fait signe qu'elle est SOURDE! Bah, je vais prendre la chance et faire confiance à mon habileté à utiliser le transport en commun des villes étrangères. Même si, dans la fenêtre à côté de moi, il y avait un papier de coller qui disait des choses, dont le nom de l'arrêt où je dois débarquer.

On voit bien que ça veut rien dire!
Au final, je me suis bien rendue à l'hôtel. J'ai profité de ma solitude et mon intimité retrouvées pour faire mon girly grooming pis j'ai même dormi en bobettes (ce que je n'avais pas fait depuis 1 an!) Haha! J'ai super bien dormi, le lit était super confortable avec toutes les oreillers et la grosse douillette. :-) 

mardi 25 octobre 2016

Les camps de concentration

Quand j'ai écrit mon blog sur ma visite à Berlin, je vous avais dit que je ferais un article séparé pour ma visite au camp de concentration de Sachsenhausen. Là, je suis entrain d'écrire mon article pour ma visite de la Pologne (Cracovie et Varsovie) et j'ai visité un deuxième camp de concentration, le plus connu (malheureusement) de tous; Auschwitz.

J'ai relu mes notes de ma visite à Berlin dans mon carnet de voyage et étonnamment, tout ce que j'ai écrit de ma présence à Sachsenhausen c'est : je ne vais pas écrire tous les détails ici, je le ferai sur mon blog. Et plus d'un an et demi plus tard, je n'ai toujours rien écrit sur ce sujet. Drôlement, souvent quand j'écris mon blog, je dois me référer à mes notes parce que je ne me souviens pas de tout, mais pour ces deux camps de concentration, je me souviens exactement des détails. C'est vraiment très marquant.

Sachsenhausen, une immersion intense

Premier camp de concentration, Sachsenhausen, en banlieue de Berlin. Après avoir adoré ma première expérience de walking tour la veille, je me suis présentée au lieu de rassemblement pour faire le walking tour à Sachsenhausen. Celui-ci était payant, mais pas trop cher. C'était une guide différente de la veille, également très sympathique. Nous avons tous pris le train ensemble pour se rendre sur le site.


Cette phrase est écrite à l'entrée de tous les camps de concentration.
Ça dit : "work sets free" ou "le travail rend libre".

J'étais vraiment très contente d'avoir pris ce tour guidé parce que, honnêtement, je n'aurais pas trop su par où commencer. Et aussi, c'est plus intéressant d'avoir quelqu'un qui nous raconte "une histoire" que d'écouter la madame automatique de l'audioguide. Elle a vraiment su nous transmettre la "vibe" des camps de concentration. Celui-ci a été démoli à plus de 60 %. Il n'y avait plus de baraques restantes, tout a été éliminé. Quand les nazis ont senti l'étau se refermer sur eux, ils ont commencé à tout brûler, pour pas que les alliés trouvent des preuves. 

Les baraques sont toutes identifiées par des rectangles de petites roches.


Sachsenhausen fût un des premiers camps construits/utilisés. Il était fait de façon à ce que le garde voit toutes les baraques en même temps, donc elles formaient une demi-lune autour de la guérite. Par contre, ils se sont vite aperçus qu'en plaçant les baraques en quadrillatère, il en rentrerait davantage. C'est pour cette principale raison qu'ils n'ont pas fait d'autres camps en demi-lune comme celui-ci.

Un plan du camp

Il y a un endroit qui m'a troublé. Je ne sais pas le nom, mais c'est l'endroit où ils éliminaient certains prisonniers. Ils leurs disaient qu'ils allaient faire des examens, les accotaient debout au mur et il y avait un petit trou où les nazis mettaient leur canon de fusil et tiraient sur les prisonniers. À un certain moment, c'était une dizaine de personnes en même temps qu'ils tuaient... Ouais, je sais, assez gloque disons...
Ledit endroit

Une statue en mémoire des victimes.

Le tour a duré un bon 3 heures. On a eu une petite pause pour dîner. Je m'étais apporté une sandwich achetée. C'était vraiment spécial parce qu'il n'y avait pas vraiment d'endroit pour manger, alors je me suis assise au pied d'un arbre en plein milieu des baraques. Je me suis laissée immerger dans l'ambiance et c'était vraiment spécial : se dire que nous, on mange sur ce terrain alors que 70 ans auparavant, les gens crevaient de faim et se faisaient tuer sur ce même terrain.

La guide nous a même raconté que si un prisonnier passait les barbelés, il se faisait tuer par balle à la tête d'un coup. Et il y avait aussi un règle que tu ne pouvais pas être nu-tête dans la cour. Pis de temps en temps, les gardiens pouvaient prendre le béret d'un prisonnier, le lancer dans la zone passée les barbelés et là ils disaient au prisonnier "tu es nu-tête, va chercher ton chapeau". Vous comprenez la suite?



En plus, après ma visite de Sachsenhausen, je suis allée visiter le musée Topographie des Terror. Pas besoin de dire que j'étais déprimée en arrivant chez mon hôte ce soir-là...

Auschwitz, une visite robotisée

Bon, je m'explique. Contrairement à Sachsenhausen, qui était une visite très immersive et personnelle, la visite de Auschwitz semblait plutôt être automatisée et impersonnelle. Encore une fois, j'avais pris un tour guidé pour faire le camp d'extermination. Oui, on l'appelle "extermination" parce que c'est là qu'ils ont tué la majorité des juifs. 

Donc, départ très tôt le matin de Cracovie pour aller à Auschwitz. C'est, disons, en banlieue de Cracovie. Ça a dû prendre 40-50 minutes pour se rendre sur place. Une fois rendue, ce n'est pas qui le veut qui peut entrer sur le site. Il faut prendre le tour guidé offert sur place (moi, c'était compris dans le prix de mon tour). Et là, il y a une fouille de sac et un passage dans un détecteur de métal. On nous donne des écouteurs et on nous assigne une guide.

Même phrase à l'entrée du camp.

Je ne sais pas si c'est notre guide qui était vraiment mauvaise ou si c'est un prérequis pour être guide touristique à cet endroit, mais la guide n'était vraiment pas enjouée du tout. Bon, je comprends bien que tu ne vas pas animer ton tour en disant "BIENVENUE TOUT LE MONDE AU SUPER SITE D'AUSCHWITZ où plus de 1 million de juifs ont été tués". Par contre, il peut y avoir un juste milieu entre ça et donner l'impression que tu es blazé et déprimé de la vie. Bref, je n'ai pas eu la même expérience qu'à l'autre camp. 

Aussi, lors de la visite, peut-être que c'est parce qu'il y a vraiment beaucoup de gens, je me sentais pressée. La guide nous parlait en marchant d'un point à un autre. Elle nous "récitait" son texte sans aucune personnalisation. Tout allait vraiment très vite. J'aurais aimé qu'elle nous donne le temps de s’immerger, de vivre ce qu'on voyait.


Au début de la visite, on voit cette citation.

Le site, en tant que tel, s'appelle Auschwitz-Birkenau. C'est comme deux sites en un. Pour Auschwitz, c'est surtout les baraques que nous avons visitées. Certaines baraques sont des musées. Il y a une place où on voit les possessions que les prisonniers avaient apportés en venant au camp, des valises, de la vaisselle, des chaussures, etc. Le pire, c'est la pièce où ils ont exposé les cheveux (et toute autre forme de poil corporel) qu'ils rasaient à l'arrivée des prisonniers. Il y a des tonnes de cheveux. C'est vraiment perturbant... C'est un des seuls endroits où on ne peut pas prendre de photos. Et c'est bien compréhensible.




À Birkenau, c'est le fameux endroit dont l'on voit régulièrement la photo du rail de train à la sortie du camp. Les juifs envoyés par d'autres pays arrivaient là, à leur sortie du train on les mettait en ligne et on les "triait". On gardait les adultes de plus de 15 ans. Les personnes considérées faibles (femmes enceintes, enfants, les personnes âgées, handicapées ou malades) étaient directement envoyées aux chambres à gaz. Il y en avait quatre sur le site, il n'en reste plus. Elles ont toutes été détruites avant l'arrivée des forces alliées.

Ça c'est la vue sur l'entrée de Birkenau.

La fameuse vue de la rail de train et la sortie du camp,
que les prisonniers ne passeront probablement jamais...

Des restes d'un crématorium.

Commémoration aux victimes avec des plaques de différentes langues.


Rien à ajouter...

C'est pas super "plaisant" comme visite. Mais je crois que ça vaut le coup, ne serait-ce que pour voir et entendre l'atrocité dont l'homme est capable. J'aurais seulement aimé ne pas me sentir comme dans un rallye pendant cette visite. J'aurais voulu du temps pour prendre des minutes de silence pour les victimes, pour avoir de la peine pour elles. Au moins, j'ai pu le faire à Saschenhausen.

samedi 15 octobre 2016

Le mythique Stonehenge

Lors de mes deux années passées à Londres, j'avais une "to do list" non écrite qui s'allongeait de plus en plus. Évidemment, je n'ai pas tout fait, mais j'ai travaillé fort pour en faire le plus possible. Dans mes derniers "miles", j'ai donné un coup et en ai accompli quelques unes, dont le fameux Stonehenge. Pour ceux que ça dit quelque chose mais qu'ils ne visualisent pas c'est quoi, bin ce sont les fameuses roches tombées de nulle part dans le milieu de nulle part!

C'est armé de nos cartes de crédit que Michael et moi avons booké un tour pour allé à Stonehenge le lendemain (on parle d'avril 2016). C'est pas donné (je ne me souviens même plus du prix), mais bon, pour se rendre là-bas, il faut une voiture pis on n'en avait pas! Le tour partait tôt le matin pour arrêter à trois différents endroits : Bath, Salisbury et Stonehenge.

Les bains romains

Premier arrêt, Bath. Pour ceux qui suivent le blog, vous savez que nous étions allés plus tôt dans l'année. C'était quand même bien parce que ça nous a permis de faire la visite auto-guidée des bains romains, que nous avions pas faite la première fois. Michael est un fan de tout ce qui touche l'histoire romaine. C'était un arrêt de 1 h 30. Donc, honnêtement, pour quelqu'un qui n'a pas visité la ville, c'est vraiment pas beaucoup pour dire qu'il visite Bath... 

On a pris l'audioguide (c'était compris) pour faire le tour des bains. C'est pas des bains comme à Budapest, c'est juste un gros bain dans une cour intérieure et on ne peut pas toucher à l'eau. Le trip c'est surtout pour l'histoire et les "vestiges" de la place.

Le seul "trou d'eau" des bains romains

Vue sur le Bath Abbey des Roman Baths



La cathédrale de Salisbury

Après notre grosse heure et demie à Bath, direction Salisbury (prononcé Saallsssbury, ou quelque chose comme ça!). Encore une fois, on avait à peine plus d'une heure pour visiter "la ville". Nous, on s'est rendu à la Cathédrale de Salisbury (du vrai nom Cathédrale de Sainte-Marie). C'est vraiment une belle cathédrale. Y disent que c'est la flèche (le pic de l'église) la plus haute du Royaume-Uni, pis que c'est le cloître le plus vaste de l'Angleterre. Demandez-moi pas trop de détails, je vous dis ça juste pour avoir l'air de connaître mes choses! Mais l'église, vraiment impressionnante! Wow!


Vu sur le cloître 


Stonehenge, enfin!

Moment fort de notre daytrip, les fameuses roches! Quand on arrive sur le site historique, on ne voit pas les pierres. On arrive à une grosse installation où il y a un mini restaurant et une grande boutique de souvenirs. Ensuite, il faut prendre l'autobus pour se rendre près des mystérieuses pierres datant de 3000 ans avant Jésus-Christ. Honnêtement, il n'y a pas trop d'histoire reliée aux pierres en tant que tel. Ils ne savent pas exactement qui les a mises là et qu'elles étaient leurs fonctions. Tout ce que l'on sait, c'est qu'elles sont vieilles! Il y a également beaucoup d'hypothèses qui entourent l'arrivée desdites pierres.

Nous sommes, encore une fois, restés vraiment pas assez longtemps à notre goût. On avait un audioguide et je n'ai même pas pu écouter tout ce qu'ils avaient à raconter. Nous sommes revenus à Londres vers 18 h. Ce fût, encore une fois, une belle petite journée en amoureux :-)

Premier contact

Enfin devant Stonehenge!




Pour une fois que je ne vois pas l'attraction par derrière en premier!

Seuls les corbeaux ont droit de toucher aux roches!